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LA QUEUE DE CASTOR PAR MERINGUE & CONFETTIS

ANICÉE LEJEUNE, LE DROIT

Véritable institution dans la capitale, les queues de castor ont vu le jour en 1978, quand Grant et Pam Hooker ont décidé d’en vendre dans un festival à Killaloe, à l’ouest d’ottawa. Convaincu du potentiel de ses pâtisseries, Grant Hooker construisait deux ans plus tard son premier kiosque dans le marché By.

Mais ce n’est qu’à l’hiver 1981, alors que le couple Hooker avait installé un kiosque sur le canal Rideau que la queue de castor est devenue populaire. « Les patineurs affamés en étaient fous ! Selon ma femme, c’était parfait pour le Canal, parce qu’on peut la manger en gardant ses mitaines », raconte Grant Hooker.

L’entreprise compte pas moins de 170 succursales, dont 15 à l’étranger. Et les Hooker s’occupent des activités dans la région d’ottawa.

La recette de cette pâtisserie frite est celle de la grand-mère, d’origine allemande, de Grant Hooker. « Elle nous servait ça au déjeuner, se souvient-il. Enfant, j’en engloutissais cinq ou six à la fois. »

Si le fondateur partage volontiers les ingrédients de base (farine de blé entier, blé concassé et levure) et confie qu’il n’y a ni lait, ni oeuf, ni sucre, il n’en garde pas moins la recette secrète. Pour le temps des Fêtes, Vanessa Letang, pâtissière et copropriétaire de Meringue & confettis, à Hull, revisite la queue de castor et offre ici son interprétation : la raquette sucrée.

RECETTES DES FÊTES

fr-ca

2021-12-04T08:00:00.0000000Z

2021-12-04T08:00:00.0000000Z

https://lequotidien.pressreader.com/article/281676848196381

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