Cinq oeuvres qui immortalisent le «frette

1 CRUEL (IL FAIT FROID, ON GÈLE) (1996), DANIEL BÉLANGER

«Y’a pas que l’hiver qui est cruel», chante Daniel Bélanger dans cette pièce mettant en exergue plusieurs situations qui peuvent nous faire froid au coeur. Un beau grand défouloir doublé d’une soif d’évasion.

2 HIVER (2009), JEAN LELOUP

Les grands froids permettent de tester nos amitiés: pour qui sommes-nous prêts à braver la rudesse de l’hiver? Bien avant la pandémie, l’air glacial du mois de janvier incitait l’auteur-compositeurinterprète de Québec à se confiner chez lui. Par la fenêtre, il capte les rayons du soleil en pensant à la vie et à la mort alors qu’à l’extérieur, le temps semble gelé.

3 LE MANTEAU (1843), NIKOLAÏ GOGOL

Pour affronter le froid, il faut un bon manteau. Et un bon manteau, ce n’est pas donné ! Parlez-en Akaki Akakievitch, ce petit fonctionnaire russe qui économise ses kopecks pour faire réparer le sien. Malheureusement, son projet sera plus compliqué que prévu et prendra même une tournure tragique et fantastique dans ce court récit qu’on retrouve dans Les nouvelles de Pétersbourg de Gogol.

4 LA REINE DES NEIGES (2013), CHRIS BUCK ET JENNIFER LEE

Immense succès signé Disney, cette adaptation d’un conte de Hans Christian Anderson se décline comme une magique célébration de l’émancipation et de la sororité. Le tout propulsé par un immense ver d’oreille (Let It Go ou Libérée, délivrée) qui ne vous quittera pas de la journée.

5 L’ÈRE DE GLACE (2002), CHRIS WEDGE

Sid, Manny et Diego n’auraient rien à craindre devant nos températures « polaires » des derniers jours. Alors que le pauvre Scrat tentait d’attraper sans fin sa noix, le célèbre trio d’animaux préhistoriques, créé il y a 20 ans, a quant à lui su faire face à une toute nouvelle ère glaciaire… qui n’augurait rien de bon.